Forum ChaOdisiaque

Salut Doc, et oui, j'ai eu le privilège de tester ce jeu, d'ailleurs j'espère en faire un retour avant la fin de semaine

Concernant, le nom, j'avoue que je ne suis pas fans de ceux cités, 17ème c'est simple, facile à retenir, mais je consent  que ça ne parle pas assez. Tout de suite ce qui me vient :

- De cape et d'esprit
- XVII
- épopée
- Espiritus
- 17ème dimension (ne me demandez pas pourquoi^^)

Je réfléchirais plus dans la soirée, mais je pense qu'il faut quelque chose de simple et pas trop long, dans ceux que tu cites, à la limite D'esprit et d'épée.

Au fil de l'âme, c'est bien sympa

Et après tu mets en sous-titre de couverture une citation d'une pièce de théâtre du 17ème siècle, parce que c'est la classe.

Du genre (au pif, mais c'est vrai que Corneille collerait bien) :


Ô combien d’actions, combien d’exploits célèbres
Sont demeurés sans gloire au milieu des ténèbres

Corneille, Le Cid.

Si tu en veux d'autres, demande moi, c'est (censé être) ma spécialité

Docmorbide a écrit:

Merci pour toutes ces suggestions
Ou alors je test un truc gnere :
XVII : Au fil de l'âme
comme ca on pourra dire "on se fait une partie de 17?" Et ca reste accrocheur.

Je suis carrément d'accord. Un titre à base d'un simple nombre 17 possède un je-ne-sais-quoi de curieux, captivant, et énigmatique. Comme ce nombre est facile à dire (c'est pas mille-neuf-cent-quatre-vingt-dix-huit-virgule-quarante-trois quoi), ça en fait en effet un bom 'nickname', critère qu'il convient inévitablement d'analyser dans le choix d'un nom.

Du coup, quelque chose à base de 17 : bla bla bla me parait en effet une solution idéale. (Bla bla bla c'est pas une proposition hin )

Peut-être :

17 : Ombres et lumières
en référence au siècle connu comme celui qui vu naitre les Lumières, tu y ajoutes ta touche perso avec les "ombres", tout en jouant sur le clair-obscur de l'expression.

17 : cataracte
La cataracte, c'est l'opacification du cristallin, rnedant plus ou moins aveugle. Il y a peut-être une idée à creuser là-dessous.
La cataracte pourrait être la dénomination -par les rares experts de l'époque- du phénomène de possession dans ton jeu (opcaification de la conscience par un esprit == possession).
Ca a l'avantage de se lire facilement, de bien saisir l'esprit, et de posséder ce je-ne-sais-quoi dont je parlais plus haut qui donne envie d'en lire plus.

17 : La guerre interdite
Où le clivage entre version officielle et version officieuse, la dissimulation de faits au grand public, prout prout. Tu vois ce que je veux dire quoi. Ya probablement une pisteà suivre dans ce chemin aussi.

17 : La croisée des mondes
Pour mettre en avant l'idée de l'immergeance de phénomènes para-normaux, comme deux univers se croisant, ou l'apparition de manifestations d'un autre plan dans le notre. A essayer aussi avec "univers", "ames", "lignes" pour que ca sonne moins HG Wells.

17 : Lignes croisées
C'est assez évocateur aussi. En fait, ça dépent beaucoup de la façon dont ton jeu assimile les mécanismes de la possession. Un bon titre se tient souvent tout seul : il doit évoquer une chose à première vue, et une autre une fois qu'on est dans l'histoire et qu'on en connait les ramifications/règles.
Exemple : Un jdr sur les zombies, et dont le phénomène serait expliqué par ce qu'on appellerait (dans le jeu) le "point de croix" pourrait s'appeler "Le Point de croix". C'est facile à retenir, et énigmatique parce que ça n'a rien à foutre là, et ça prend un nouveau sens après avoir lu le livre de règles et/ou avoir fait quelques partie, quand on comprend que le "point de croix" est le phénomène qui tient tout le jeu.
Je suis pas sûr d'être très clair. Fais le moi savoir si c'est le cas

17 : Impair et manque
nan je déconne ...

Ouais en fait j'étais pas certain pour le siècle des lumières, mais il me semblait que c'était une période s'étalant sur deux siècles et des brouettes. J'ai fait ma petite recherche en tapant l'article, qui m'a confirmé dans mon idée, puisqu'on évalue la période de 1670 à 1820. Bon c'est que des dates, balancées hors de leur contecte politique, donc je me fie allègrement à ton opinion ^^

Sinon le plan des citations en tête de chaque chapitre c'est vrai que ça le ferait carrément. Jaworski en rappelle une de Molière dans Gagner la Guerre, qui me parait aussi de circonstance compte tenu du parralèle entre théatre/vérité et apparence/possession, ou acteur/être réel et humain/possédé :
" Vous les voulez traiter d'un semblable langage,
Et rendre même honneur au masque qu'au visage
Egaler l'artifice à la sincérité,
Confondre l'apparence à la vérité,
Estimer le fantôme autant que la personne,
Et la fausse monnaie autant que la bonne ? "

J'ai un peu retravailé le concept :

XVII : Tranchant comme l'âme...

Hey Doc, j'ai trouvé un autre distique qui pourrait bien coller à ton jeu. La citation est à mettre en relation avec la jeunesse - et ça pourrait bien correspondre à ta créativité inépuisable

"La bouillante jeunesse approuve bien souvent,
De furieux projets qu'elle va concevant"
Alexandre Hardy (début XVIIème siècle)

"... qu'elle va concevant" est une ancienne tournure qui n'est plus utilisée dans le français moderne. On peut "traduire" par "qu'elle est en train de concevoir".